22 juillet 2009
Un mot, un jour : Paroxystique
Chaque jour, un mot nous interpelle, nous en dressons un portrait imagé, sensitif, émotif,… Le son nous aide ainsi que la consistance en bouche.
Aujourd’hui, on réfléchit aux mot paroxystique, parce que Sylvie Baillon l’a employé hier lors de notre rencontre.
Statistique ? Non, c’était pas ce mot là, c’était plus alambiqué que ça. C’était pas antalgique ? Exotique ? On ne sait plus, mais on se souvient que ça finissait en -ique.
Paroxystique
Déjà on peut dire parallèle, ça commence pareil, par le même son.
Moi, ça me fait penser au tic, quelqu’un qui fait toujours les mêmes gestes.
Je ne me souviens plus dans quel cadre Sylvie a employé ce mot, sur quelle base, je me demande si ce n’est pas quand elle a raconté comment ils avaient travaillé avec le plasticien. Dans ce sens là, je vois l’idée d’évolution, le Sylvestre qui évolue.
Est-ce que ce n’est pas pour dire qu’au début, il n’y avait qu’un personnage, et puis il y a l’invention de son habitat, de son histoire, de son environnement, il envahit l’espace, le monde… bientôt le Panthéon.
Est-ce que ça ne peut pas venir du format des photos, un grand format comme ça, ce serait paroxystique…
Ce serait pas un truc large, comme un truc volumineux.
L’idée que ce soit parallèle à un univers, quelquechose qu’on ne voit pas qui se déroule dans un autre monde, qui n’est pas vraiment la réalité.
Paroxystique ça vient du mot parole, la parole dans le monde, c’est le son du mot qui m’y fait penser.
Pour moi, c’est un truc de rêve, dans un autre monde en rêvant, en tout cas, la pièce m’inspire ça.
Paradoxe, paradoxal, paranoïa, ça me fait penser à d’autres mots dans le même genre qu’on ne connait pas bien et qu’on entend de temps en temps.
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